«Entre déni officiel et procès sans présence des accusés ni des victimes, la loi contre l’esclavage en Mauritanie est faite uniquement pour la consommation extérieure, malgré la batterie juridique et institutionnelle qui l’accompagne». Un sentiment de frustration et de colère qui a marqué la conférence de presse que les avocats de SOS Esclaves ont animée vendredi 27 novembre 2020 à Nouakchott.
Boubacar Messaoud (boubou blanc) au milieu entre Me El Id (à g.) et Me Bah (à dr.) – Crédit Aidara