C’est devenu une (mauvaise) habitude. Chaque fois qu’Ould Abdel Aziz est convoqué par la police chargée des crimes économiques et financiers (que le Parquet a chargé de mener l’enquête sur les scandales de la décennie) ou que le dossier de la corruption fait un pas en avant, un enregistrement audio, une vidéo ou des documents, que leurs auteurs pensent compromettants, sont jetés en pâture à l’opinion.
Peut être qu’il n’est plus qu’une question d’heures ou de jours mais ce qui devait arriver va arriver inéluctablement.