Le dossier dit « Passif humanitaire » continue à occuper les principales victimes, certains politiques et quelques organisations de défense des droits de l’homme. Si les premiers continuent à se battre, en manifestant pour réclamer la vérité et les droits qui en découlent, les seconds en parlent (majorité et opposition) comme une question nationale à régler.
Il y a 30 ans, le génocide contre les Tutsis endeuillait le monde entier.