La Sionie ne cessait de déclarer qu’elle ne quitterait l’enclave de Gaza qu’après y avoir construit des colonies et éradiquer le Hamas : elle va s’en retirer dans les quarante-deux prochains jours, la queue entre les pattes, humiliée, discréditée, sans atteindre un seul objectif d’une guerre qu’elle voulait éclair, et à des conditions qui sont loin de lui être favorables. Le secrétaire d'État américain Antony Blinken ne déclarait-il pas récemment que chaque soldat du Hamas tué était remplacé par une nouvelle recrue ou un volontaire ?
La capitale mauritanienne, Nouakchott, vibre d'une énergie nouvelle.