Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse. La fumée et l’insoutenable odeur empestent l’air de tout le voisinage et même au-delà. Les pompiers sont intervenus, semble-t-il plusieurs fois, mais le feu reprend inlassablement.
La capitale mauritanienne, Nouakchott, vibre d'une énergie nouvelle.