Dans un développement significatif de la justice sénégalaise, le pouvoir judiciaire a annoncé l'ouverture d'une enquête contre cinq anciens ministres du gouvernement du président Macky Sall, accusés de malversations financières et de détournement de fonds alloués à la lutte contre la pandémie de COVID-19.

L'affaire, qui prend une dimension politique et internationale, a révélé des détails sur la gestion des fonds publics par le gouvernement pendant la crise sanitaire qui a touché le monde entier.

Des accusations graves

Le ministère de l'Économie et des Finances a annoncé la formation d'une commission chargée d'enquêter sur les circonstances de ce qu'une investisseuse américaine a rapporté concernant son exposition à des "harcèlements et des comportements qui violent les règles de gouvernance, les exigences de l'environnement d'investissement et des actes criminalisés par la loi".

Afrique de l'Ouest : voici pourquoi le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Bénin et le Mali doivent abandonner le FCFA
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En Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Bénin et le Mali veulent tourner le dos au FCFA.

Même si c’est pour différentes raisons, ces pays sont convaincus de ce qu’une nouvelle monnaie va leur permettre de se développer.

En effet, le FCFA était depuis longtemps l’objet de multiples débats en Afrique de l’Ouest notamment au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Mali.

Des membres du Gouvernement ont commenté, mercredi soir, les résultats du conseil des ministres, qui s’est déroulé plus tôt dans la matinée. Il s’agit des ministres de la Culture, des Arts, de la Communication et des Relations avec le Parlement, porte-parole du Gouvernement, M. EL Houceine Ould Medou, de l’Économie et des Finances, M. Sid Ahmed Ould Bouh et du Commissaire aux Droits de l’Homme, à l’Action humanitaire et aux Relations avec la Société civile, M. Sid Ahmed Ely Benane.

Soudain, de multiples délégations de pays d'Afrique de l'Ouest ont commencé à affluer vers la Mauritanie après des semaines de mobilisation et d'incitation médiatique dans les médias ouest-africains contre la Mauritanie. Il y a maintenant plus d'une raison pour que Nouakchott soit un sujet majeur dans les médias de ces pays après avoir décidé d'exercer une partie de sa souveraineté sur son territoire en expulsant ceux qui n'ont pas de statut de séjour légal.

Pourquoi la Mauritanie a-t-elle pris cette mesure ?

Le département d'État américain a approuvé le 18 mars courant la demande soumise par le ministère de l'Économie du Sénégal concernant la reprise du programme de soutien à l'énergie et à l'accès à l'électricité financé par l'Agence américaine pour le développement international. Ce programme avait été interrompu en raison de la décision du président Trump de suspendre l'aide étrangère pendant 90 jours.

    Au cœur de Nouakchott, le siège flambant de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) se distingue comme une lueur de modernité dans un paysage institutionnel qui s’éternise encore dans l’esprit et les missions de la LOI 67039 du 3 Février 1967, instituant le régime de sécurité  sociale en Mauritanie.

Les douanes de l'aéroport de Nouakchott ont saisi une grande quantité de médicaments importés illégalement, qui étaient en possession d'un certain nombre de voyageurs.

Le ministère de la Santé a déclaré dans un communiqué publié sur sa page Facebook que les quantités saisies ont été confisquées ces derniers jours en possession d'un certain nombre de voyageurs arrivant par différents vols.

Le ministère a indiqué que ses services compétents ont commencé à prendre les mesures juridiques prévues dans de tels cas.

Le ministre de la culture, des arts, de la communication et des relations avec le parlement, Porte-parole du Gouvernement, M. El Houssein Ould Meddou, a annoncé que le Président de la République, S.E. M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a fait un don personnel de 10 millions d’ouguiyas anciennes, en guise de contribution à la campagne de soutient familles des journalistes décédés menée par le Syndicat des Journalistes Mauritaniens (SJM).

La Mauritanie et la France ont signé, ce mardi à Nouakchott, un accord par lequel la France accorde un prêt de 64 millions d'euros à la Mauritanie pour financer des projets gouvernementaux.

L'accord a été signé par le ministre mauritanien de l'Économie et des Finances, Sid Ahmed Ould Ebouh, et par l'ambassadeur de France à Nouakchott, Alexandre Garcia.

Ce montant sera alloué au financement du projet de ligne à haute tension dans le sud de la Mauritanie et de la centrale de production d'électricité dans la ville de Kiffa.