Et la série des « ventes » du patrimoine foncier de l’Etat continue de plus belle mais avec de plus en plus de zones d’ombre.
Autant la première vente, celle des blocs, a respecté un tant soit peu une certaine forme de transparence autant les suivantes ont été organisée en catimini ou entre un réseau confidentiels « d’opérateurs économiques » ou en tout cas dabs des conditions plus que douteuses.