En Mauritanie, le Conseil des ministres a décidé mardi 21 octobre d'une vague de sanctions spectaculaires, dix jours après la publication du rapport de la Cour des comptes 2022-2023 qui pointait des malversations à plusieurs niveaux de l'administration du pays. Le président Ghazouani avait prévenu : « aucune personne, quelle que soit sa position, n'échappera à la sanction ». Une trentaine de hauts responsables iront donc devant la justice.
La presse indépendante mauritanienne élève aujourd’hui une voix unie pour dénoncer les injustices dont elle est victime et interpeller di
























