La police des crimes économiques de Nouakchott a arrêté, lundi, l’ancien directeur de la société Somagaz, Cheikh Ahmed Ould Zahaf, après son retour au pays depuis l’étranger.

Des sources sécuritaires ont confirmé à l’agence de presse Al-Akhbar que la police a arrêté Ould Al-Zahhaf après son retour d’Espagne, dans le cadre de l’enquête qu’elle a ouverte sur la transaction du marché concernant des entrepôts de la société qu’il gérait.

Un ouf de soulagement pour les milliers d’expatriés mauritaniens qui ont longtemps souffert de l’exclusivité nationale qui les privait de leur nationalité mauritanienne dès lors qu’ils en prenaient une autre. Les différentes commissions parlementaires, opposition comme membres du pouvoir, ont finalement approuvé par consensus, mardi 27 juillet 2021, un texte toiletté qui sera présenté bientôt au vote des députés et qui constitue une grande révolution dans le domaine, en ce qu’il reconnait la double nationalité.

Le ministère de la Santé a annoncé le mardi 27 juillet courant, avoir enregistré 341 nouvelles contaminations, un nouveau record, à la pandémie du Covid-19, au cours des 24 dernières heures.

La dernière mise à jour de la situation épidémiologique a montré également la guérison de 132 cas, confirmés après 3 102 tests dont 2 580 TDR et 519 PCR

4 cas de décès au coronavirus ont été malheureusement déplorés au cours de la même période, a fait également savoir le Département gouvernemental dans son bulletin quotidien.

Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a inauguré, mardi soir à Nouakchott, l’hôpital mobile Mohamed Ben Zayed pour la prise en charge du covid-19.

Sur place, le Président de la République a coupé le ruban symbolique, marquant ainsi la mise en service de cette formation hospitalière avant de faire le tour de ses différents services où il a suivi des explications sur ses multiples missions.

Les autorités mauritaniennes ont récupéré ce mardi les deux mauritaniens qui avaient été enlevés au Mali, il y a près de deux semaines lors d’une attaque menée par des hommes armés contre un chantier de la société ATTM en territoire malien.

Selon des sources propres à Sahara Medias le Hakem d’Amourj et des éléments de la police mauritanienne ont récupéré les deux citoyens mauritaniens à la frontière avec le Mali et qui sont en bonne santé.

Le ministre mauritanien de la santé, Sidi O. Zahaf, a déclaré qu’aucune personne vaccinée ne figurait parmi les récents malades ayant nécessité une prise en charge particulière, appelant les populations à se faire vacciner.

Le ministre qui était l’invité de radio Mauritanie dans la nuit de lundi à mardi, a réaffirmé qu’aucune des personnes ayant pris les deux doses du vaccin n’a connu de complications inhérentes à la maladie.

C’est cela s’appeler, joindre l’acte à la parole. En Mauritanie, le ministère de l’Éducation nationale et de la réforme du système éducatif avait bien mis en garde contre le port, tant des candidats que des surveillants, du téléphone dans les salles d’examen.

Ceux qui auront manqué à cet avertissement strict n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes. Le Département a tenu ses promesses.

Les 9 juges de la Haute Cour de Justice ont élu le mardi 27 juillet courant le président et les deux vice-présidents de cette haute instance nouvellement créée, pour juger les hautes personnalités de l’Etat dont les anciens Chefs d’Etat suspectés de trahison majeure.

Le poste de président est revenu au juge Jemal Ould Yedali (au centre).

Les juges N’Gaidé Abderrahmane Hamatt (à gauche) et El Id Mohamedhen M’Bareck (à droite) ont été élus quant à eux aux postes de vice-présidents

« Pas de pénurie » à craindre

L’unité de la covid-19 de Nouadhibou dispose d’une quantité suffisante de bouteilles d’oxygène et que la ville dispose d’une usine de production d’oxygène indique un communiqué rendu public aujourd’hui, lundi 26 juillet 2021, par la commune.

Le projet de loi pour protéger les symboles étatiques semble vouloir visser les clous, en empêchant les Mauritaniens d'avoir des regards et des analyses critiques sur les symboles et le fonctionnement de l'Etat. Cette volonté savamment affichée et assumée, piétine non seulement notre constitution sur les libertés individuelles et collectives, mais aussi bafoue toutes conventions signées par la Mauritanie sur les libertés, sur la démocratie et sur le devoir de protection des citoyens pour des manifestations pacifiques de dénonciation.