British Petroleum de prospection et d’extraction du gaz estime les réserves du champ commun  entre la Mauritanie et le Sénégal Tortue au double de la production de gaz dans tous les Etats du continent africain en 2017.

La société a fait cette révélation dans un tweet publié sur sa page facebook le mardi 20 aout courant, dans lequel, elle évalue ces réserves à 15 trillions de pieds cubes de gaz.

Comment imaginez-vous que les mauritaniens  bénéficieront de cette manne, s’interroge BP dans son tweet, promettant de répondre à cette question vendredi prochain.

L’ancien ministre des Finances, Mokhtar Ould Djay, a annoncé la liste de ses biens  dans un blog publié sur sa page Facebook, notant qu’il avait déposé sa déclaration ce  lundi « conformément aux procédures judiciaires ».
Les actifs de Ould Djay, qu’il a déclarés sont constitués de   28 millions d’ouguiyas , trois maisons à Nouakchott et Magta Lehjar ,  deux voitures et un petit jardin de palmiers.

En tant que structure nationale porteuse du projet de développement de la Mauritanie de 2016 à 2030, la Stratégie de Croissance Accéléré et de Prospérité Partagée (SCAPP), par son faible ancrage institutionnel, ne peut assurer l’engagement que la Mauritanie a souscrit par rapport à l’Agenda 2030 des Nations Unies et celui de l’Union africaine, mais aussi de son engagement par rapport à la Déclaration de Paris de 2005 et du Programme d’Action d’Accra de 2008.

Un vaste débat local a lieu ces jours ci en Mauritanie, à travers les médias sociaux ,déclenché par un article d’un écrivain mauritanien, qui revele des  informations sérieuses,  que le directeur de la société  chinoise Hondok,liée avec le  gouvernement mauritanien par un accord de peche ,aurait  déclaré au journal  China News

Il y a quelques mois, l'Etat mauritanien passait un contrat pour le moins occulte dont les clauses sont restées totalement opaques avec une société émiratie dénommée Afroport à qui il cède gracieusement le matériel de handling et la gestion de l’aéroport de Nouakchott. 

Et paradoxalement, cette mystérieuse société, sans adresse internationale connue, augmente les tarifs de ses prestations, ce qui lui permet d'engranger facilement des dividendes estimés à plus de 8,5 milliards d'ouguiyas par an. 

La présidence mauritanienne a rendu public vendredi un décret portant nomination de Boumedienne O. Taya au poste de gouverneur adjoint de la banque centrale.

Il succède à ce poste à Cheikh El Kebir entré dans le premier gouvernement du président Mohamed O. Cheikh Ghazouani pour occuper le poste de ministre de l’économie et de l’industrie.

Sahara Medias

Rien ne va plus entre l’Etat mauritanien et la Banque Islamique de Développement (BID).

La crise qui couvait depuis des mois resurgit ces derniers jours avec le refus de la BID de décaisser tout montant déjà alloué à des projets de développement en Mauritanie. Un portefeuille qui finance l’électricité, la santé, l’agriculture, l’éducation… Comment en est-on arrivé là ? 

Selon un rapport publié par l’agence sénégalaise de presse mardi, le montant des transferts financiers effectués par les ressortissants sénégalais en Mauritanie ont atteint en 2017 130 millions de dollars, sur les 2,22 milliards de dollars qu’ont constitués les transferts.

Selon le rapport publié par l’agence ces transferts ont sensiblement augmenté depuis 2000, passant de 925 millions de dollars à 2220 millions de dollars en 2017.

Depuis mardi, six nouvelles coupures sont disponibles en Gambie. Les billets reprennent les mêmes couleurs et les mêmes montants, mais ils sont expurgés du visage de l'ancien président Yahya Jammeh. Une nouvelle monnaie « plus inclusive » avait défendu le gouverneur de la Banque centrale lors de sa présentation.

Les créancières du cheikh Ali Ridha bin Mohammed Naji al-Saidi ont repris  leurs  manifestation le vendredi 09 août 2019 à midi.

Les manifestantes se sont rassemblées  dans la cour de la mosquée Cheikh Ridha à Tevragh Zeina à Nouakchott , pour exprimer leurs réclamations et sensibiliser les fidèles venus pour la   prière hebdomadaire    du vendredi.

Les porte-parole de ces créancières ont déclaré qu’elles-mêmes et leurs enfants vivent un état d’expulsés  et une situation de SDF (personnes sans logement)